Nous ne parlons pas ici que des problèmes insolubles : voici une histoire qui finit bien !
Souvenez-vous des tribulations de notre ami Amine qui envisageait de découper sa femme pour la faire entrer sur le territoire français (c’était juste pour rire, rassurez-vous). Eh bien, elle est ici à Toulouse et en entier s’il vous plait ! Cela tient du miracle ou presque.
Le miracle survint fin août alors que notre ami allait retourner à Toulouse une fois de plus seul avec son fils aîné qui devait entamer sa deuxième année scolaire. Il prit la forme d’une convocation à se rendre au Consulat de France à Alger et, c’est cela le miracle, sans qu’il n’y ait eu de nouvelle demande de visa. Les documents, présentés la première fois et qui n’avaient pas alors suffit puisqu’il ne fut pas « donner une suite favorable à votre demande » (comme ils disent), ont cette fois-ci permis l’attribution d’un visa de séjour de un an.
Bon maintenant si ceci n’est pas un miracle, que vous faut-il de plus ?
Une précision tout de même, l’épouse de notre ami fut reçue par un autre agent consulaire que lors de la première convocation…
Malgré cela nous persistons à croire au miracle sinon il faudrait trouver l’explication de l’obtention du fameux sticker dans des considérations plus terre à terre, moins divine donc plus humaine et pas forcément très clean (pour parler en français moderne).
Monsieur le Consul Général de France à Alger, ou tout autre personnage influent, a-t-il lu notre « histoire de fou » ?
« Qu’importe, notre famille est enfin réunie sous un même toit et les trois enfants sont scolarisés. Je vous parie que les deux petits qui viennent d’arriver feront aussi bien que leur frère aîné (cf. premier épisode de l’histoire). »
« De plus, comme les bonnes nouvelles n’arrivent jamais seules, une autre agréable surprise attendait notre famille à son arrivée à Toulouse. La transcription de tous leurs actes d’état civil demandée au service consulaire d’état civil d’Algérie à Nantes était arrivée. »
Et c’est justement la transcription du mariage de nos amis qui avait été réclamée lors de la première demande de visa, notifiée par un refus.
Avouez que c’est assez étonnant, n’est-ce pas ?
Pour terminer juste une remarque qui n’a rien à voir : le service de l’état civil consulaire d’Algérie ne se trouve pas à Alger mais à Nantes alors que tous les consulats du monde abritent un service d’état civil… Un autre traitement de faveur, histoire de faire simple.
Pour conclure et puisqu’il est à peu près certain que notre site est visité par du beau monde, nous signalons que notre ami est actuellement à la recherche d’un emploi et qu’il est prêt à accepter toute activité décente qui puisse être prise en charge par un homme de 51 ans.
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