En réponse à :
(texte intégral de la tribune libre parue, réduite d’un tiers, dans Le Monde en date du samedi 18 octobre 2008) La crise planétaire de la finance, telle qu’on nous la présente, ressemble à un de ces gros mauvais films concoctés par l’usine à succès préformés qu’on appelle aujourd’hui le « cinéma ». Rien n’y manque : le spectacle progressif du désastre, le suspense à énormes ficelles, l’exotisme de l’identique – la Bourse de Djakarta logée à la même enseigne spectaculaire que New York, la diagonale de (...)