En réponse à :
Bon. On ne rit plus. La campagne est vraiment lancée.
Jusque samedi, nous au Délit, bêtement, on croyait que ce qui était grave, c’était la crise, feu le Triple A, le chômage, le pouvoir d’achat, les retraites, l’Europe, la dette, la Grèce, les délocalisations et tout et tout.
Et puis en fait non.
Samedi, en écoutant le candidat-président et son discours de Bordeaux, on a appris que tout ça, c’était peanuts. De la rigolade. Une vaste blague. De la gnognotte.
Non, non, ce qui est très très très très (...)