En réponse à :
TO7 accueille depuis quelques mois un nombre sans cesse croissant de personnes obligées de survivre à la rue.
Nous sommes choqués de voir qu’encore aujourd’hui dans une ville comme Toulouse, il y ait des hommes qui dorment dehors, la nuit, au mois de novembre 2012.
Des bâtiments attendent la démolition, des hommes chargés de sacs attendent un peu de compassion.
Ces hommes sont sans protection, les bâtiments vides sont surveillés. Paradoxe d’une société qui protège sa sécurité.
Nous demandons que (...)