En réponse à :
Je pense que le collectif, c’est quelque chose de bien. Même si les sans-papiers ne sont pas reconnus, qu’ils n’ont pas d’existence légale, le collectif permet de casser un barrage : avec ou sans papiers, on peut traiter la question des droits. Je veux dire que ce n‘est pas le fait d’être sans papiers qui fait vivre le collectif : même s’il n’y a plus de sans-papiers demain, que tout le monde est régularisé, le collectif doit continuer, enraciner, porter la question des droits. Le collectif, ce n’et pas (...)