En réponse à :
quand je traverse la Reynerie, il n’y a que des hommes partout, debouts à discuter pendant de journées entières, ils ne font rien, ils regardent ceux qui passent, ils occupent la place, c’est une pression, on ne se sent pas libre, même si on n’a pas peur le jour
Dans l’immeuble, les femmes ne sortent jamais se promener le soir impossible de faire le tour du lac au clair de lune, on est obligé de rester enfermé chez soi regarder la télé
Les femmes sortent pour les courses, le marché ,amener les petits enfants à l’école , les plus grans font ce qu’ils veulent, on a peur de ces bandes de gamins mal (...)