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Depuis le début de l’automne dernier et jusqu’aux premiers jours de cette nouvelle année, la barre de Satie - promise à la destruction depuis… 2003 ! - a été grignotée, cassée, abattue. D’abord imperceptiblement, puis de plus en plus violemment, jusqu’à disparaître totalement, ne laissant qu’un tas de gravats. Tout cela sous nos yeux…