En réponse à :
Il n’y a pas de guerre aujourd’hui entre les Français de souche et les autres, ni même entre la France des villes et celle des banlieues. Les premières cibles des violents sont les voisins. Et ce sont eux qui réclament une restauration de l’ordre républicain. La sympathie pour les vandales est beaucoup plus répandue chez les bobos écolos qui font du vélo à Paris que parmi les automobilistes pauvres du 9-3.
Ce qui prévaut, c’est la compréhension, la dissolution du sentiment de l’injustifiable dans la recherche des causes.
Au lieu d’être outragés par le scandale des écoles incendiées, on pontifie sur le (...)