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Théâtre du grand rond

Article proposé le mercredi 23 avril 2014


Après l’Acte 1 du projet « Envers du décor - Reportage » mené par Cultures du Cœur, voici l’Acte 2, en partenariat avec le Théâtre du Grand Rond. Les adhérentes de l’association Bell’Arc en Ciel et Centre d’Information des Droits des Femmes et de la Famille se sont fait reporter culturel au Théâtre du Grand Rond. Leurs impressions en quelques mots …


Le lieu en 3 mots :

Petit : A la prononciation de ce théâtre nous penserions que le lieu est vaste mais après le passage de la porte d’entrée c’est une surprise de voir comme le hall d’accueil est peu vaste. Une partie pour une buvette le reste pour des points de consommation et la billetterie. C’est donc un petit théâtre de poche d’une centaine de places qui fête sa 10ème saison.

Proche : C’est un petit théâtre. Il n’est pas impressionnant. Ce sont des artistes locaux, des petites compagnies, proches de nous. En plus, du fait de sa taille minimaliste le nombre de place donne un côté « privée » à la représentation ce qui fait ressortir le sentiment d’être proche de l’acteur sur scène.

photo " salle bar 2

Convivial : Parce que c’est petit, tout le monde parle, passe. On se sent à l’aise. La première pièce est agréable, les lumières sont bien. C’est simple, on se sent chez soi.
L’ambiance calme et distrayante durant l’apéritif avant le spectacle permet de se détendre, de se mettre à l’aise, quand on peut trouver une place, ne pas oublier que le lieu est petit.
Le fait qu’il soit petit joue sur la convivialité car tous les spectateurs sont proche les uns des autres ce qui permet de favoriser des échanges amicaux, polis entre les personnes.

Les spectacles « Le jardin » et « XL » en quelques mots :

« Le jardin » - extrait
Passionnant : Je n’arrêtais pas de m’étonner. Avec son maquillage, ses tresses levées, et puis la façon de nous regarder et tout. On aurait dit qu’elle vivait vraiment les choses. L’actrice captait l’attention de tout le public, du tout petit (nous étions avec un enfant d’un an) au plus âgé.
Poétique : La partie qui m’a fait réagir et la partie ou elle effectuer une « chorégraphie » en jouant avec les mots de la voie off, comme un langage des signes corporelle.
Eclectique : Un spectacle très éclectique, où on ne comprend pas le lien entre les 3 parties de celui-ci. L’apprentissage du piano est très bien vu ; cela ressemble à du vécu.
Le spectacle « Le jardin » a été joué dans sa version entière au Théâtre du Grand Rond au mois de juin.

« XL »
Sans gêne : N’ayant pas compris le message que l’actrice a voulu transmettre avec son personnage, je trouve le jeu très osé et dégradant.
Ici, on ne fait pas dans la dentelle ! On nous montre la solitude à travers tous ses excès, sans regard extérieur, sans retenue.
Voyeur : Ce qui transparait de ce spectacle, même si nous assistons à une performance de la part de l’actrice et auteure Julie Font, c’est un profond malaise. On se sent « voyeur ».

Mira, Christine, Egidia, Houria, Hind

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